Amélie Oudéa-Castéra
Amélie Oudéa-Castéra commence sa vie médiatique comme joueuse de tennis de haut niveau entre ses 14 et 18 ans, puis magistrate à la Cour des comptes puis à la direction de AXA et Carrefour, et directrice générale de la Fédération française de tennis.
Le , Amélie Oudéa-Castéra est nommée ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques dans le gouvernement Élisabeth Borne.
Le , tout en conservant ces portefeuilles, elle devient aussi ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, dans le gouvernement Gabriel Attal. Elle crée la polémique dès sa nomination, notamment en tenant des propos jugés méprisants et mensongers envers l’école publique, ainsi qu’en raison de différents conflits d’intérêts de ses activités professionnelles.
« Je n’ai pas menti mais la réalité me donne tort. » Ainsi se justifie la ministre de l’Education nationale d’avoir parlé avec «sincérité» au sujet des raisons de la scolarisation de ses enfants dans le privé, tout en admettant que les faits contredisent sa version.