« Nos préjugés et nos valeurs agissent sur nos perceptions. » Ce postulat est le point de départ de la formation sur l’écoute de Ondine Dellicour et Johan Cornez, coordinatrices chez Ulysse, service de santé mentale qui « a pour objet de faciliter l’accès à l’aide en santé mentale aux personnes exilées en précarité de séjour et en souffrance psychologique, quels que soient leur pays d’origine, leurs appartenances et les raisons de leur départ ».
Une formation destinée aux travailleurs sociaux des CPAS de Bruxelles et de Wallonie.
En voici quelques planches de facilitation visuelle produites en direct durant cette formation organisée par le Centre de Formation de la Fédération des CPAS de l’Union des CPAS et l’Union des Villes et Communes de Wallonie.
Petite expérience en groupe
Ce dessin à gauche est proposé aux participants qui sont divisés en trois groupe. Dans un tableau de trois colonnes, un groupe dit ce qu’il voit, une deuxième décrit ce qu’il ressent et le troisième expose ce qu’il pense.
L’écoute active est une notion issue des travaux du psychologue Carl Rogers. On parle aussi d’écoute attentive ou empathique. S’agissant d’un concept global, d’une manière d’appréhender le dialogue, il n’existe pas de définition précise. Néanmoins, l’idée générale est de permettre à un interlocuteur de s’exprimer totalement et librement, par une écoute motivée et une attention sincère. Plus concrètement, l’écoute active consiste à désirer comprendre l’autre, et à le lui montrer. Elle s’inscrit dans le cadre de la bienveillance au travail. cadremploi.fr
Les obstacles à l’écoute active
Les solutions pour aumenter l’écoute active
Spécificités et difficultés du travail social
